Ouf.. Presque en retard!!

En voyant son visage, je su qu’au fond d’elle, elle voulait bien. Je la regardai et fit un petit sourire en coins de satisfaction et d’excitation. Je me retournant d’une traite pour mettre un contexte a la situation et pour qu’elle puisse embarquer plus facilement dans le jeu. Deux pas apprenne, je regardai au sol pour trouver une bouteille oublier par le ‘’spectacle’’. Quand ce fut le cas, j’en pris une qui avait un petit fond de bière, prit la gorger et la recracha. Je sais bien que question égéenne, ce n’était pas mieux, mais question d’embobiner quelqu’un ca portais ces fruit. L’agent de police était dos à moi, ce qui contait a mon avantage. Je m’avançai vers lui et lorsque je fus a c’est coter, je me laissai tomber sur l’un de c’est épaule. Une manière efficace de ce faire penser soul. Ce que j’aimais chez moi, c’est que je n’avais pas besoin d’avoir fait l’expérience pour être comme ci. De mon autre main, je le tapai sur le torse, afin de l’agacer le plus possible et lui dis en m’assurent que l’odeur de l’accole lui l’aiche bout du nez, tel un alcoolique :

-Vous savez la fille là-bas,-je pointe Cassandre- et bien elle vous aime. –Je lui fis signe d’approcher.- Y’a juste quelque chose que je ne comprends pas. –Je lui tape le torse du doit.- Vous êtes laid. Contrairement à moi, vous êtes atroce.

L’agent fronçai des soucis, mon but était attins. Il me regarda et me poussa l’légèrement pour que je me décolle de lui. J’exécuta et me leva sur la pointe des pied pour regarder ce qu’il faisais bien que je le savais déjà. Il sortie son testeur d’accole et me regarda.

-Je crois monsieur, que je vais mesurer vôtre tôt d’aciole. Soufflez dans la baloune je vous prit.

J’attendis quelque temps avant de mettre ma bouche et je soufflai dessus légèrement.

-Monsieur, dans la baloune je vous prit.

Je mis ma bouche sur l’objet de plastique et souffla a l’intérieur. C’est quand je me retirai qu’il regarda et advient a la conclusion, que je n’était aucunement soul. Je me redressai et prit donc mon sérieux.

-Bien sure que non sa vous a prit du temps et vous dite être dans la police. Déplaisant.

Je le contournai un peu et prit son arme sur son pantalon. Avec ca j’étais sure de passer au moins en cour. Le regardant d’une pare et d’autre, tout en marchant, je lui dis :

-Il faut croire que vous vous n’en êtes pas beaucoup servie. C’est un beau 9mm. Dommage que vous n’avez pas tué quelqu’un.

Il fonçait donc dur moi et je me tassa a la dernière minute. J’ouvris le compartiment des bales et vue qu’il y en avait douze. Elles étaient toute la.

-Pas pire, je redoutais qu’il soit vide dis-je en levant le canon vers le haut pour que les bales tombe au sol.Je crois que je les ais fait tomber.

Quand il fut proche de moi pour ramasser les bales, tout en me gelant la loi, je me reculai et lançai le fusil vide et sans danger a Cassandre.

-Ne vous inquiéter pas, il y a encore la sécurité.

L’agent leva donc la tête pour voir ou étais son arme et ce levait en gelant maintenant sur Cassandre. Je la regardai donc avec un petit air de défis et attendis qu’elle face quelque chose à son tour.

Je fige, je me retourne vers Malcom, il a un air de défi dans les yeux. Je lui adresse un sourire, prends le revolver par la chienne, et commence à courir. Il était assez corpulent l'agent de sécurité, se qui ne serait pas bien gentil, mais bon, je suivais la plupart des gens dans tout se qu'il fesait, du moment que ça me divertissait et ... je me mettais souvent les pieds dans les plats, une de plus ou une de moins, quelle serait la différence? Et dans la foule, je vois un homme assez soûl, je referme le compartiment des balles, place mes mains comme si j'allais tirer. Je lui tape sur l'épaule, il se retourne après que j'ai remis ma main en place sur la gachette.

-Haut les mains, au sol.

L'homme s'exécuta, pendant ce temps, je vois l'agent complètement ahurit tout près. J'attends un peu, et lui lance son arme. D'un geste anxieux, il essaye de rattraper son magnum 9 mm.

-C'est vraiment amusant. Merci, on se recroise un jour.

Je dis celà pendant que je passe à côté pour rejoindre Malcom et lui prendre le bras.

-Cours maintenant... On verras bien si la sécurité est en mesure de courir après nous...

Je ris un peu, espérant prendre mon Purell plus loin en route. Je détestait toucher des surfaces sales! Comme... ce revolver.

Ce ne fut pas trop difficile de savoir qu'elle aurait l'audace de ce prêter au jeu. Ce fut tout de même amusant de la voir agir ainsi. Ce fut décevant de la pare du policier. Il ne faisait rien. Appart ce précipiter sur les balles et courir après Cassandre ce fut décevant. Puis après avoir remit l'arme a l'agent de police, elle m'avait rejoins. Me tenant au bras et le souffle cour, elle me proposa de courir pour ne pas ce faire prendre davantage. Je ne it rien regardant le policier, avec la remarque de Cassandre et le voyant s'approcher de nous, je commença a courir, Cassandre dans ma mains. Nous traversons le parc et tomba sur la rue pour ce réfugier dans une petite ruelle. C'était l’endroit le mieux pour éviter la police, vue la noirceur. Apres mettre arrêter, je lançai d'un aire aillant:

-Dommage cela aurait été sympa faire un tour en voiture.

Je la regardais a présent, m'attendant a une nouvelle réaction que les précédente.

(HRP si tu préfère et aimerais qu'il y arrive quelque chose entre fait moi signe je peu changer le poste si tu veut. Ho et désoler du petit poste )

Arrivé dans la ruelle, je sors mon Purell, comme si c'était la huitième merveille du monde. En mets dans ma main. Je le regarde.

-T'en veux?

Oh mon Dieu! Sous la simple lumière d'une lueure de reverbère, ses yeux brun foncés était quasiment noir comme sa pupille. J'étais ravagée. Je fondais litéralement... Parlant de litérature, je devais m'avancer dans mon roman et voilà que j'étais avec lui à fuir la sécurité qui avait surement laisser tombé l'affaire. L'heure?! Oh mon Dieu, je devais rentrer. Seule la nuit, aller jusque chez moi, me faisait un peu peur, mais bon, j'était à moitié féline après tout, ça ferait fuir n'importe quel voyou... J'imagine, je m'y connais pas tant que ça, la seule infraction, c'était pas mal ce soir... Ma simple routine se voyait transformé par ce nouvel, ''beau'' à préciser, arrivant dans notre ville.

-Bon, tu veux venir avec moi pour manger un morceau? Tu ne peux pas rester le ventre vide, pas avec moi, ce n'est pas vrai l'ami! Tu réfléchiras plus tard. Tu ne peux pas d'écliner l'offre déjà que tu n'as même pas prit le temps de prendre un repas au restaurant, je serais vexée si tu ne veux pas en plus de ma cuisine.

Je restai fixe sur ses mains qui avaient quittées les miennes pour la bouteille de savon sans eaux. Une fois de plus j’avais eu raison sur son TOC, bien que n’importe qui ait pu le remarquer. Je trouvais ca tout de même dommage de ne pas m’avoir fait prendre par la police. Cela aurait été un bon prétexte pour que ma mère s’inquiète. Enfin jusqu’à ce qu’elle comprenne que j’en suis la cause et que cela faisait partie d’une sorte de provocation de ma pare. J’aurais eu cependant un moment de plaisir à voir mes parents franchir la porte du bureau de police pour venir me chercher. Puis Cassandre me sorti de mes idées pour m’inviter. D’un sence, si j’y allais, je n’aurais pas a rentrer a la maison, mais cela évoquerait pour elle un intérêt de ma pare qui n’est pas. J’attendis un moment et puis répondis oui a son offre. Bien qu’il n’y aurait aucune occupation, cela serait intéressant d’en savoir plus a son sujet. Le lieu ou une personne vie est toujours la meilleure façon pour savoir sa vie. Comment elle a été élevée, ses intérêts, si elle aime lire ou pas, bien que cette question sois déjà claire…

Un silence apparu et je pu distinguer des pas précipités non Loing de nous. Je me tournai donc dos a la rue principal, prit Cassandre par la taille pour me diriger vers le fond de la ruel. Passé une baine à ordure, je la poussa légèrement derrière le baine. D’un mouvement, je la rejoignis en mettant ma main précautionneusement sur sa bouche et un doigt sur la mienne. Je me concentrai pour entendre les pas. Lorsqu’ils fusent assez éloignés, j’enlevai ma main sur sa bouche et regarda s’il était vraiment partie. Personne n’était en vu, il était partie. Je me retournai vers Cassandre, fit un pas en arrière et lui présenta mes excuses. Dans ces situations, je pouvais provoquer chez les gens de l’incertitude et de la méfiance a mon égard. Bien que je ne craignais de ce ne fuse pas le cas avec elle. Je la fixai donc afin d’avoir un dernier mot de sa pare, avant de la raccompagner chez elle.